Histoire de La Maison du Bassin
Le charme du Cap-Ferret
La maison F.BEILLARD (épicerie, café central) créée dans les années 1920 par un résinier de l’herbe, Jean dit Achille Beillard, un landais et son épouse Francine, une basquaise, résinière elle aussi. Elle fut reprise par leur fils Georges et son épouse Hyacinthe, ce fut le café des sports. L’établissement lui doit vraisemblablement son nom Le Bayonne, qu’elle choisit sans doute en souvenir de ses origines.
La salle sera transformée en cinéma puis en discothèque.
Si dans les années vingt on ne s'ennuyait pas à Claouey, ni au Canon, le Cap-Ferret n'était pas en reste : on dansait au Bayonne, à la Forestière, à l'Hôtel des Pins, à la Buissonnière, à la Pointe, des défilés carnavalesques étaient organisés au départ du Bayonne...
Le Bayonne devient une référence locale
Dans le pur style local du village, avec son cinéma "Le moderne" !
L'hôtel restaurant est exploité pendant les années 1970-90 par Eric, Jean-Marc Roland. Dans les années 1980, à la place du Cinéma, la discothèque Le Mimbeau club est créée dans l'aile gauche (avec Messa comme premier Disc jockey).
En 1992 l'établissement, fut repris et transformé sans faute majeure de goût, mais affublé d'un nom américain "Le Show-Bizz", suscitant une vive réprobation dont les propriétaires ont tenu compte. Il deviendra " l'Hôtel d'Arguin ".
Le Moderne - Cinéma au "Bayonne"
Dans les années 70 puis 80, le Bayonne est un lieu incontournable de la vie de la presqu'île avec son fameux cinéma Le Moderne. Ici un programme des films de l'été 1974.
La Maison du Bassin depuis 1994
Les nouveaux propriétaires restructurent complètement l'établissement en 1994 en un hôtel de charme, un restaurant "bistrot" et un bar "colonial" le Tchanqué.
« Cap-Ferret : magique Maison du Bassin »
Le blog de G. PUDLOWSKI, "Les pieds dans le plat"
Cette auberge de charme est toujours le secret le mieux gardé du Ferret. Même si le secret est un peu éventé. On l’a connu à ses débuts, en 1998, créé en lieu et place d’un hôtel vieillot, mais charmant (« le Bayonne ») tout à côté du phare et du quartier ostréicole par les Jouinau, esthètes, fous de déco, qui en avaient fait un nid d’amour. Les chambres étaient parfois petites, le lieu s’est agrandi et embelli, avec l’adjonction d’une maison annexe, avec son balcon, sa glycine...
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